A propos
HELIA Conseil était le nom de la première société de mon père, créée en 1989.
Histoire, Historique, Héritage, Evolution, Emergence, Equilibre, Limites, Information, Imagination, Avenir, Anticipation.
Autant d'initiales qu'il avait déjà pensées pour analyser une entreprise, une personne, une politique, un état.
En 2012, après 5 ans de cursus ingénieur, j'ai aidé au développement d'une entreprise de rénovation énergétique. 10 ans plus tard, j'ai décidé d'allier mes compétences en thermique du bâtiment à une approche plus globale. J'ai donc créé HELIA Conseils pour présenter les moyens d'apprendre à consommer moins et mieux l'énergie.
Car celle qu'on ne consomme pas reste la moins polluante.
En effet, je suis soucieux des enjeux économiques mais surtout écologiques et environnementaux que nous allons traverser et devoir relever.
Notre planète a ses limites, les ressources s'appauvrissent, les énergies fossiles ne sont pas inépuisables et se raréfient.
Il est important de diminuer nos consommations.
Les transitions énergétique et carbone s'imposent.
Le Bilan Carbone® est une approche incontournable et un outil pour y parvenir.
C'est quoi ces bandes colorées sous le logo HELIA Conseils ?
Les "warming stripes", ou "bandes de réchauffement", représentent l'évolution du climat depuis 1850. Elles montrent l'écart par rapport aux températures moyennes sur Terre entre 1970-2000.
Ce graphique met en évidence une augmentation due aux émissions de gaz à effet de serre (GES) issues des activités humaines. Du bleu dans les années 1900 au rouge 100 ans plus tard, les bandes indiquent la hausse globale des températures à l'échelle du globe par rapport aux moyennes de l'ère préindustrielle.
“ L’écologie n’est pas une question de prix. Le monde du vivant s’organise en degrés, en partie par million, en tonnes et en litres, en proportion de matière organique, en nombre d’espèces, etc. Le défi auquel nous faisons face aujourd’hui est celui du dépassement, du déraillement, de l’excès de vitesse de certaines économies vis-à-vis des capacités de charge des écosystèmes. Peu importe les prix, nous devons dépenser moins de nature. “